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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 09:45

PÉRORAISON                                                                                                                         

              Le  mot qui , à l’origine, était un terme de rhétorique désignant la conclusion d’un discours au  ton emphatique et déclamatoire n’est plus employé que pour  la désignation péjorative  d’un discours ou d’un  écrit redondant  et prétentieux .dont on dira volontiers que l’auteur est un cuistre * .

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 09:13

ENTRÉE                                     

                               1)Un “Livre d’entrées” est un livre relatant les  fêtes ayant eu lieu à l’occasion de l’entrée d’un personnage important,souvent le roi,  dans une ville.

 

                   Y figurent notamment des vues du cortège d’accueil constitué de tous les notables rangés en ordre hiérarchique et revêtus des attributs de leur rang .

 

                   Les rois , à l’issue de leur avènement , visitaient les principales ville à un rythme variable  mais souvent fort lent :par exemple , Charles IX intronisé en 1560 ne fit ses entrées dans les principales villes que de 1564 à 1566…

  

                   Ces livres peuvent revêtir des formes très différentes soit grand  in-folio* analogue au “livre de fêtes *  “   ,somptueusement relié, et réunissant des gravures représentant les festivités soit , au contraire, occasionnel  * de médiocre qualité et peu illustré .

 

                   Il est à noter que les livres de la première catégorie paraissaient parfois longtemps après les évènements célébrés : c’est ainsi qu’un livre  célébrant  l’entrée de Louis XIV dans Paris à l’issue de son mariage  en 1660 ne parut qu’en 1662...

 

                   Les publications ordinaires sont anciennes : relations romancées ou  plus exactes par des historiens ou des chroniqueurs : Lacurne de saint Palaye  les a recensées et , parmi elles, on peut citer  l’entrée de Charles VII à Caen en 1450 racontée par  Monstrelet .

 

                   Il est à noter que ces «  Entrées «  représentaient pour les villes visitées une charge financière considérable dont elles mettaient parfois plusieurs années à    se remettre ....     

 

                               2)Début d’un article* dans le langage de la presse .

 

           

                               3)Mot faisant l’objet d’une rubrique *dans un dictionnaire (on dit aussi « Adresse « et «  Vedette* «    )

 

                   Le choix des entrées d’un dictionnaire est délicat ,toujours subjectif et sujet à contestation ou à critique ...pour le présent dictionnaire , certains contesteront la présence de tel ou tel mot qui , selon eux , n’a rien à faire là , d’autres (ou les mêmes... !  ) regretteront l’absence de tel ou tel autre à leur sens incontournable...

 

                  J'en accepte la critique mais persiste et signe en revendiquant mes choix !

 

                   Le nombre d’entrées est un important critère d’appréciation d’un dictionnaire : les dictionnaires de langue française courants comportent de 50000 à 75000 entrées non compris les noms propres  mais de notables variations peuvent exister de l’un à l’autre en fonction des choix lexicographiques retenus  comme par exemple , le traitement des noms composés qui , selon les dictionnaires,  figurent  sous un nombre d’entrées variables .

 

                    Ne considérant pas  le nombre d'entrées comme un critère essentiel , je n'ai pas comptabilisé exactement celles de ce dictionnaire : le chiffre de 20000 (en évolution !!..)semble être une approximation réaliste ...

 

 

                               4)Dans le langage de l’archivistique * on nomme “ entrée  “ toute arrivée de documents .

 

                   On peut distinguer les entrées ordinaires provenant du dépôt légal des divers services de l’état et les  entrées extraordinaires provenant de legs *, dations *, dons * , dépôt * etc .. 

 

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12 avril 2018 4 12 /04 /avril /2018 09:06

OBJET DE CE DICTIONNAIRE

 

                J'ai  entrepris une recherche concernant les " Mots "  en usage dans les diverses sphères d'élaboration de la " Chose écrite " depuis ses origines jusqu'à nos jours : mots de la langue ordinaire , mais aussi  argots de métier, sabirs , jargons....et mots obsolètes des domaines spécialisés tels que  codicologie, papyrologie, archivistique , épigraphie etc ..etc ...recherche concrétisée par l'élaboration d'un dictionnaire .

               Cette recherche impliquant la consultation de nombreuses sources de toute nature   une liste partielle des livres consultés  en recense 1600 titres  à l'article " Bibliographie " ci-dessous .

                Il m'arrive cependant de rencontrer des mots qu'aucun des pourtant nombreux  dictionnaires que je possède n'indique et concernant lesquels internet est soit muet soit trop laconique ... le but initial de ce blog était donc de poser des questions concernant ces mots  "mystérieux " mais , la posture d'éternel questionneur pouvant lasser , j'y inclus des articles aboutis ( mais toujours perfectibles ..) de mon dictionnaire .

               C'est en espérant que vous trouverez quelque intérêt à ma démarche  que je vous invite  à la découvrir ....

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12 avril 2018 4 12 /04 /avril /2018 09:05

ADRESSE AUX LECTEURS

Merci à vous ,fidèles abonnés et  lecteurs occasionnels que je ne connais pas  !...

Votre passage  sur le blog , fut-il silencieux , m'est d'un précieux réconfort !!

Les articles publiés  le sont sans règle précise et leur ordre n'obéit qu'à la couleur du temps  et à l'humeur du jour ..mais si l'un d'entre vous souhaitait y voir aborder un sujet particulier c'est bien volontiers que je m'efforcerai de le satisfaire ! 

 

Que cette journée vous soit un bonheur !!

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12 avril 2018 4 12 /04 /avril /2018 08:57

COMTESSE

                                     1)L’expression « Littérature ou romans de Comtesse «  est synonyme de «  Littérature de Concierge*, de Midinette* ou de Gare * « et désigne   des  romans sentimentaux narrant  des idylles dans des situations convenues et , plus particulièrement, celles mêlant personnages de la noblesse et roturiers.

 

                       Il n’est pas exclu que l’origine de l’expression soit issue du style des quelques 120 romans à succès   qu’écrivit Sibylle, Aimée,Marie-Antoinette,Gabrielle Riqueti de Mirabeau , comtesse de Martel sous le pseudonyme de «  Gyp «

 

                                     2)Le journal « Le canard enchaîné «  publie sous le titre «  l’Album de la comtesse «  un florilège de contrepetteries *, (Voir à ce mot :*) parfois très élaborées ….

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12 avril 2018 4 12 /04 /avril /2018 08:27

COMPTINE                                                                                                                                          

             

                                     Genre poétique très rythmé destiné à l’enfance qui, outre son but ludique, aurait,selon les auteurs du “ Dictionnaire des termes littéraires  “  , pour fonction “ ...de les initier à l’apprentissage des normes de régularité et de répétition qui président à tout processus de socialisation  

                                     Elle présente quelques analogies avec le «  Virelangue *, le «  Ricochet* »,, le «  Cadavre *exquis «  ou la «  Scie* «   et est  parfois aussi nommée  «  Formulette  * « ,«  Nursery* rhyme », «  Comptage «  , «  Comptain «   voire «  Empro * « ( Voir à ces mots : * )

                                   Pas toujours cohérent le texte privilégie volontiers  les assonances et les rimes  au détriment du sens et est souvent introduit par une onomatopée telle que «  Plouf-Plouf » quand il n’en est pas entièrement constitué  comme dans la comptine bien connue «  Am Stram,Gram,Pique,pique & Clolegram, Bourre , bourre et ratatam nostram  ».

 

                                   L’utilisation de la comptine vise souvent à se substituer au tirage au sort pour désigner une personne devant jouer un rôle particulier dans une action ou un jeu et ,pour ce faire ,le groupe se réunit en rond  chaque personne étant désignée  au fur et à mesure de l’égrenement de la comptine , le dernier élément de celle-ci désignant intéressé .comme , par exemple dans la comptine : « Une oie, deux oies, trois oies, quatre oies, cinq oies , six oies , sept oies  (C’est toi !! ) »

 

                                        Ce procédé est , dans certaines régions , nommé " Ploufer " en référence au début de la comptine ...

 

 

 

                                   Y sont apparentées les  formules, très souvent  transgressives , inventées par les écoliers et scandées à satiété du genre :

 

              « Mon pantalon est décousu  et si ça continue on verra le trou de mon de mon…..pantalon est décousu …. « 

 

              « Vivent les vacances ! Point de pénitence ! Les cahiers au feu  et le maître au milieu ! « 

 

              « Au clair de la lune , j’ai pété dans l’eau, ça faisait des bulles c’était rigolo ! « 

 

                                   Ces comptines sont durant très longtemps  restées non écrites et, transmises oralement de génération en génération ,cantonnées au domaine strictement enfantin .

 

                     Elles sont absentes de la littérature de colportage et ne sont apparues que tardivement dans les œuvres littéraires , y compris dans celles destinées à la jeunesse car considérées comme « non-conformes » au modèle éducatif souhaité .

 

                   Ce n’est qu’à partir du milieu du XIX° siècle  que des recensements ont commencé a en être faits sur initiative ,en 1852, du ministre de l’instruction publique Fourtoul , collectes  qui conduisirent à la publication de  recueils dont l’un des plus anciens, en rassemblant 350 , est « Les enfantines du bon pays de France «  que Philippe Kuhff publia en 1878.mais qui , bien qu’établi sur une initiative officielle, ne fut pas admis à l’exposition universelle de 1878, ni bien sûr en milieu scolaire …

 

                                 Diverses enquêtes nationales (1931) ou privées (Philippe Soupault-1957) ont suivi qui ont permis de collecter plus de 8000 comptines, la Bretagne s’avérant être le domaine le plus riche..

 

                   S’en sont suivies des publications  en rassemblant un certain nombre comme par exemple : « Pêle-mêle :un peu de tout pour les enfants »(1935), «  Enfantines , Rondes e rythmes «  ( 1939)« Comptines de langue française «  Chez Seghers en 1961  etc …

 

            Mais toutes  ces publications sont restées au  niveau du recensement formel et les comptines n’ont pas fait l’objet en France  d’études linguistiques , historiques , ethnologiques  ou sociologique comparables à celles qui ont conduit en Angleterre à la publication de l’ «  Oxford dictionnary  of nursery Rhymes , leur parution n’a pas  induit de changement rapide des mentalités et ce n’est guère qu’après la seconde guerre mondiale que l’éducation nationale s’y intéressa.

 

            On pourra consulter avec profit l’article beaucoup plus complet  d’Isabelle Nières-Chevrel « Comptines et formulettes « du «  Dictionnaire du livre de jeunesse «  (Cercle de la librairie -2013)

 

              

                         On peut assimiler aux comptines les  chansons destinées à rythmer un travail qui ont existé  depuis les époques les plus reculées : on en connaît pour les porteurs égyptiens , pour les fileuses grecques  , pour les forgerons latins etc …

 

                           L’époque moderne  n’en est pas exempte   et quasiment tous les métiers ont les leurs parmi la foule desquelles on peut citer   le «  ALA* « (ou " Alla " ou " A  La")  des typographes *:

 

                           : « À  la , À  la,  À  la 

                           À la santé du confrère

                          Qui nous régale aujourd'hui

                        Pas d’eau !   Pas d’eau !     Pas d’eau !   

                        À la santé de Batisse

                        Plus l’on boit plus l’on pisse

                        À la santé de Nicolas

                         Plus l’on boira plus l’on pissera !      

                                                                                                                               

         Ou la comptine des vendangeurs  chargés de vider un pressoir à l’aide d’une pelle en bois qui  était en outre parfois  rappelée sur les murs du  chai par un dessin mnémotechnique :

 

              « Pelle blanche, pelle noire

              « Pelle avec un petit manche

              « Pelle en bas , pelle en haut

              « Pell’ qui n’en a guère            

               « Pelle en bas, pelle en haut

              « Pelle qui n’en a pas « 

 

           

 

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11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 09:26

OBJET DE CE DICTIONNAIRE

 

                J'ai  entrepris une recherche concernant les " Mots "  en usage dans les diverses sphères d'élaboration de la " Chose écrite " depuis ses origines jusqu'à nos jours : mots de la langue ordinaire , mais aussi  argots de métier, sabirs , jargons....et mots obsolètes des domaines spécialisés tels que  codicologie, papyrologie, archivistique , épigraphie etc ..etc ...recherche concrétisée par l'élaboration d'un dictionnaire .

               Cette recherche impliquant la consultation de nombreuses sources de toute nature   une liste partielle des livres consultés  en recense 1600 titres  à l'article " Bibliographie " ci-dessous .

                Il m'arrive cependant de rencontrer des mots qu'aucun des pourtant nombreux  dictionnaires que je possède n'indique et concernant lesquels internet est soit muet soit trop laconique ... le but initial de ce blog était donc de poser des questions concernant ces mots  "mystérieux " mais , la posture d'éternel questionneur pouvant lasser , j'y inclus des articles aboutis ( mais toujours perfectibles ..) de mon dictionnaire .

               C'est en espérant que vous trouverez quelque intérêt à ma démarche  que je vous invite  à la découvrir ....

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11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 09:25

ADRESSE AUX LECTEURS

Merci à vous ,fidèles abonnés et  lecteurs occasionnels que je ne connais pas  !...

Votre passage  sur le blog , fut-il silencieux , m'est d'un précieux réconfort !!

Les articles publiés  le sont sans règle précise et leur ordre n'obéit qu'à la couleur du temps  et à l'humeur du jour ..mais si l'un d'entre vous souhaitait y voir aborder un sujet particulier c'est bien volontiers que je m'efforcerai de le satisfaire ! 

 

Que cette journée vous soit un bonheur !!

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11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 09:22

 

BINIOUSERIE    

                                                                                                           

            Terme très péjoratif qualifiant un ouvrage à caractère régionaliste mettant en scène la Bretagne en utilisant   images , idées reçues et , à -priori xénophobes pouvant aller de la simple moquerie au franc mépris .

 

Le mot est aussi employé pour tout ouvrage de ce type même s'il ne concerne pas la Bretagne .

 

Généralement cantonnées aux écrits non officiels on peut cependant en trouver dans certains livres scolaires de lecture de la fin du XIX° siècle qui n'hésitent pas à égrener les archétypes les plus éhontés tels que ceux développés dans cet " Abrégé de la France " de Eugène Manuel et Lévi Alvarès publié chez Delagrave en 1877 dont l'exemplaire en notre possession porte un cachet de mairie montrant qu'il fut officiellement utilisé et qui , après avoir reconnu quelques qualités aux bretons écrit :

 

 " Mais , d'un autre côté , ils sont tenaces,ignorants , attachés à la routine ,rétifs à tous progrès....ils sont brutaux, quelquefois même avec leurs femmes ....ils sont souvent malpropres ,intempérants ,crédules et superstitieux ..."

 

Et cet ouvrage développait des considérations de cette sorte pour toutes les régions !

 

Petit florilège :

 

"Les auvergnats sont âpres au gain, ont peu de goût pour les arts et l'industrie , mais embrassent volontiers les métiers les plus pénibles pourvu qu'on les paye "

 

"Le provencal est bouillant , emporté , irascible ...mobile à l’excès, passe d'un extrême à l'autre..." etc ..etc ...

 

Un autre ouvrage du même type ,évoquant l'octroi ,qui , à l'entrée des villes champenoises, taxait les troupeaux de moutons par unité de 100 têtes rapporte qu'aux bergers cherchant à échapper à l'impôt en constituant des troupeaux de 99 animaux on appliquait tout de même la taxe au prétexte que :

 

" 99 moutons et un champenois font cent bêtes ! "

 

Avec de telles lectures officielles on ne peut plus s'étonner que les petits écoliers aient eu l'image mentale d'une France peuplée de gens du Nord "Laborieux, grands et blonds" ,de gens du midi "petits , crêpus irascibles et basanés " , de" bretons obstinés", de provenceaux " mobiles & têtes chaudes  " de " Rudes habitants du Jura ", de " Fils de pirates " normands etc ..etc...

 

 

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11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 09:15

GLISSEMENT

                        On nomme glissement le fait  que certaines œuvres  séduisent un lectorat  non visé à priori  soit en étendant leur domaine d’intérêt ,soit en abandonnant le domaine initialement visé …

 

                        Les glissements les plus courants se sont faits du domaine du lectorat adulte vers  celui de la jeunesse et les exemples sont nombreux de livres  devenus des best-sellers du «  Livre-jeunesse «  alors que leurs auteurs les avaient écrits sans penser  à ce public .

 

                        La plupart du temps , ces glissements se sont faits au prix de coupes ou  de condensés en  supprimant les passages  philosophiques, politiques , à visée sociale etc …et il existe de notables différences entre le texte original et celui destiné à la jeunesse .

 

                        Parmi les cas les plus célèbres , on peut citer :

 

                        -« Robinson* Crusoë » de Daniel de Foë (1719)qui outre les nombreuses éditions destinées aux adultes eût une multitude d’éditions plus ou moins amendées destinées au jeune lectorat , quasiment aucune des multiples collections « Jeunesse «  existantes n’a omis ce titre …qui , par ailleurs ,a suscité l’émergence du genre particulier des «  Robinsonnades * « ( Voir à ces mots : * )

                        -« Alice au pays des merveilles «De Lewis Caroll alias Charles Lutwige Dodgson (1865) , à l’origine pas du tout écrit pour la jeunesse et contenant nombre  d’allusions sociologiques ou politiques critiques , puis devant le glissement en cours , réécrit  pour un jeune public ..

 

                        -« Les voyages de Gulliver » de Jonathan Swift (1726) qui le font voyager à Lilliput,à Brobdingnag,à Laputa et chez les Houyhnhnms dont les descriptions comportent de nombreuses notations critiques concernant la société de l’époque …et quelques passages scatologiques ont été écrits pour un public adulte mais , assez vite , un glissement s’est fait vers  la jeunesse en ne conservant d’abord  que les deux premiers voyages  chez les lilliputiens et les géants  puis en se limitant au premier et en expurgeant de nombreux passages

 

                        -Pour l’époque contemporaine on peut également citer « Les trois mousquetaires «D’Alexandre Dumas (1844)   « Zazie dans le métro «  de Raymond Queneau (1959), La «  Trilogie » des souvenirs d’enfance  de Marcel Pagnol  (1957/60)et une multitude d’autres ….

 

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